11/02/2013

A la une


A lire  François Dubet dans Libération du 11 février :

 Les opposants cachent leur opposition derrière des arguties : «ça va être nul», «on n’y arrivera pas», «on va confier les élèves à des animateurs socioculturels», etc. Certaines critiques peuvent être fondées. La loi n’est pas parfaite. Mais on ne peut pas reprocher à Vincent Peillon de passer en force. Il a procédé à une vaste consultation. Et tout est négociable. Surtout, chacun sait que six heures de cours par jour, plus une demie heure pour les élèves en difficulté, et 144 jours de classe par an, ce n’est pas un bon système scolaire. Les enfants sont écrasés de travail, stressés, etc.