Affichage des articles dont le libellé est Parent. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Parent. Afficher tous les articles

01/10/2014

Déclaration de la FCPE 91 au CDEN de l’Essonne

Monsieur le Préfet, Monsieur le Directeur Académique, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil départemental de l'éducation nationale ,
Le 30 septembre 2014,

La rentrée scolaire 2014 se place sous le signe de la généralisation de l’application de la réforme des rythmes scolaires à toutes les écoles publiques de France. Or l’actualité a démontré que la loi ne s’applique pas à tous et particulièrement en Essonne !
Le mercredi 3 septembre, les écoles de Yerres, Savigny-sur-Orge, Viry-Châtillon, étaient fermées laissant les élèves sur le trottoir et les familles démunies.

02/02/2009

Rythmes biologiques et espaces chez l'enfant

Hubert Montagner, directeur de recherches à l'INSERM, démontre dans cet article l'importance dès la naissance des interférences du temps et de l'espace dans les constructions de l'enfance, y compris les apprentissages.

Les études combinées du développement, des processus d'attachement et des conduites de l'enfant montrent que, dès la naissance, et avant pour certains aspects, la relation, le temps et l'espace interfèrent à tout moment dans l'organisation et la fonctionnalité des « compétences-socles » qui sous-tendent les constructions de l'enfance, y compris dans les apprentissages (FI. Montagner,1995, 1996, 2002). En conséquence, lorsqu'on élabore dans les écoles des stratégies qui lient la relation, le temps et l'espace, on crée les conditions « basiques » pour que les enfants de tout âge puissent révéler ces compétences, quelles que soient leurs particularités, y compris lorsqu'ils sont «étrangers», «inadaptés» ou «handicapés». Ils peuvent alors structurer leurs processus cognitifs et libérer leurs ressources intellectuelles.
Je n'aborderai pas ici les systèmes de relations, ni leurs fondements comportementaux et psychiques, puisque ce domaine est bien exploré par les cliniciens qui participent au colloque (voir aussi H. Montagner, 1996, 1998,2002).
S'agissant du temps, les principales conclusions issues des recherches sur les rythmes veille-sommeil et les rythmicités psychologiques ont été rapportées respectivement par J.Paty et F.Testu. Je nie limiterai donc à la présentation de données récentes sur l'évolution temporelle de rythmicités «bio-psychologiques, qui sous-tendent le traitement de l'information à l'école maternelle, et donc les constructions qui sous-tendent l'accès au savoir et à la connaissance, notamment dans les apprentissages scolaires. Je présenterai ensuite quelques principes d'aménagement des espaces scolaires à partir des données de la recherche et des constats de la clinique (les espaces-temps).

1. Données nouvelles sur la genèse des rythmicités de la vigilance et du traitement de l'information au cours de la journée scolaire
Des données nouvelles se dégagent d'une recherche conduite pendant 3 ans sur les fluctuations au cours de la journée de la vigilance et de l'efficience dans le traitement de l'information, de la petite à la grande section d'école maternelle, au sein d'établissements scolaires dont certains sont situés en Zone d'Education Prioritaire et les autres en secteur «ordinaire».
Fondée sur une méthode proche de celle utilisée par Testu, mais avec des tests adaptés aux âges de l'école maternelle, la recherche permet de quantifier chez tous les enfants de la même classe leurs oublis et erreurs dans le «traitement» à quatre moments de la journée de signes «iconiques» et de signes linguistiques (dans chaque classe, les tests sont organisés une seule fois dans la journée à 9h, 11h, 14h ou 16h). Elle a porté sur plusieurs centaines d'enfants dans 12 écoles maternelles de la même région du sud de la France. Le traitement statistique de plusieurs milliers de tests révèle notamment que :
a). En grande section d'école maternelle (les enfants sont âgés de 5 à 6 ans au moment des tests), le pourcentage d'enfants peu ou non vigilants, c'est-à-dire qui commettent au moins un «oubli» (ils n'entourent pas tous les signes iconiques ou linguistiques identiques au modèle) et la fréquence des «oublis» suivent la même évolution journalière que celle mise en évidence chez les enfants de l'école élémentaire (Testu,1986-2001; Montagner et Testu, 1996) : les valeurs les plus élevées sont observées à 9h et 14h. C'est aussi ce qu'on observe pour le pourcentage des enfants qui commettent au moins une erreur dans le traitement de l'information (ils entourent un ou plusieurs signes différents de celui du modèle) et la fréquence moyenne des erreurs. Soulignons que, dans notre échantillon, l'organisation du temps scolaire est comparable à celle de la plupart des écoles élémentaires, c'est-à-dire une matinée de 8h30 à 11h30 et un après-midi de 11h30 à 16h30. Soulignons qu'un «temps de sieste» n'y est pas organisé après le déjeuner.
b). En moyenne section (les enfants sont âgés de 4 à 5 ans), les fluctuations au cours de la journée sont comparables à celles de la grande section, mais seulement pour le pourcentage des enfants «oublient». Cependant, elles sont moins marquées. En revanche, la fréquence moyenne des « oublis » ne varie pas de façon significative d'un moment à l'autre de la journée scolaire. Si on considère les erreurs dans le traitement de l'information, les résultats sont différents de ceux de la grande section :
- le pourcentage des enfants qui commettent au moins une erreur et la fréquence moyenne des erreurs augmentent progressivement entre 9h et 11h.

- le pourcentage d'enfants qui commettent au moins une erreur et la fréquence des erreurs sont encore plus élevés â 14h qu'à 11h, mais diminuent à 16h. Les valeurs maximales observées à 14h pourraient être en relation avec l'absence d'un « temps de sieste » au début de l'après-midi.
La moyenne section a donc des caractéristiques de grande section pour les oublis et de petite section pour les erreurs (voir ci-dessous).
c). En petite section (les enfants sont âgés de 2 ans et demi à 4 ans), on observe une évolution journalière inverse de celle des enfants de grande section. En effet, le pourcentage d'enfants qui commettent au moins un «oubli» ou une erreur augmente entre 9h et 11h. Il est plus faible au début de l'après-midi qu'à 11h et continue de diminuer à 16h. C'est aussi ce qu'on observe pour la fréquence moyenne des «oublis» et erreurs. Les données recueillies le matin sont corrélées à un ensemble d'indicateurs comportementaux de non-vigilance, de fatigue et d'insécurité affective. En effet, on observe de 10h30 à 11 h une augmentation de la fréquence des bâillements, affalements, étirements, pleurs sans raison apparente, refus de l'activité ou de la tâche proposée, évitements de l'interaction, comportements autocentrés, agressions «hors de propos»... , et du pourcentage d'enfants qui développent ces comportements. La diminution observée au cours de l'après-midi pour la fréquence des « oublis » et erreurs, et le pourcentage des enfants qui en commettent, coïncide avec l'aménagement d'un temps de sieste à partir de 13h30.
Dans toutes les classes de l'échantillon (selon les classes, de 60 à 80% des enfants s'endorment) ; les tests sont organisés à 14h30, et non 14h, lorsque de 80 à 90% des enfants se sont réveillés. Par conséquent, par comparaison avec la moyenne section, et encore plus nettement la grande section, la même organisation temporelle de la matinée (3 heures de «contraintes scolaires» de 8h30 à 11h30) se traduit chez les enfants de la petite section par une non-vigilance croissante (donc moins d'attention, de réceptivité et de disponibilité) et une diminution de l'efficience dans le traitement de l'information de 9h à 11h. En revanche, la possibilité et la réalité d'une sieste au début de l'après-midi entraînent ensuite plus de vigilance et d'efficience dans le traitement de l'information.
d). Le pourcentage des enfants qui commettent au moins un «oubli» ou une erreur, ainsi que la fréquence moyenne des «oublis» et erreurs sont, à tous les moments de la journée, beaucoup plus élevés dans les petites sections des Zones d'éducation Prioritaire que dans celles des écoles « ordinaires ».
Parallèlement, le pourcentage des enfants qui ne commettent ni oubli ni erreur est beaucoup plus faible dans les petites sections de Z.E.P. (les différences sont hautement significatives : les tests statistiques donnent des seuils de significativité qui varient selon les tests de .01 à .000e-01).
e). Les différences entre les moyennes sections des deux groupes d'écoles sont moindres. Elles diminuent encore entre les grandes sections. Autrement dit, les différences se réduisent avec l'âge et les années passées à l'école maternelle.
Les processus de développement, les acquisitions et apprentissages et l'efficacité éducative et pédagogique des enseignants pourraient expliquer ce «rattrapage». Cependant, les différences entre les classes des écoles «ordinaires» et les classes «homologues» des Zones d'Education Prioritaire varient avec la difficulté de la tâche. Elles sont faibles pour les tâches simples (tests avec îles signes iconiques orientés selon un même axe horizontal : par exemple des flèches). Mais, elles restent élevées pour les tâches complexes (tests avec des signes iconiques orientés selon des axes opposés, et tests avec des syllabes). En outre, si l'évolution temporelle des «oublis» et erreurs au cours de la journée scolaire est le plus souvent conforme au modèle établi dans les moyennes et grandes sections des écoles «ordinaires», elle est plus variable et atypique dans les classes «homologues» des écoles de Z.E.P.
On ne peut donc organiser selon un modèle unique le temps scolaire au cours de la journée dans les différentes sections de l'école maternelle. En outre, on ne peut évaluer de la même façon la vigilance, l'attention et le traitement de l'information dans les différents types de tâches, et selon que l'on considère les enfants des écoles «ordinaires» ou ceux des écoles situées dans des secteurs de vie où les familles ont une forte pro¬babilité de cumuler les difficultés matérielles, morales et sociales (Zones d'éducation Prioritaire).
2. Les espaces-temps dans les structures d'accueil et d'éducation
Si on se fonde sur les données de la recherche et les constats de la clinique, deux types d'aménagement paraissent nécessaires :
A. Les lieux d'accueil de l'enfant et de ses parents (les lieux intermédiaires)
Une fonction essentielle des structures qui reçoivent les enfants de tous âges est de créer les conditions d'un accueil sécurisé et sécurisant pour l'enfant et ses parents. En premier lieu, et bien évidemment, elles ne doivent en aucun cas être dommageables pour leur intégrité physique et biologique. Elles doivent aussi assurer à chacun une réelle sécurité affective, c'est-à-dire une ambiance, des personnes apaisantes, des aménagements d'espace et des mobiliers qui lui permettent de «déminer», en tout cas relativiser et de dépasser, l'anxiété, l'inquiétude, l'angoisse, les phobies et les peurs qui le «minent».
Rassurés, les différents enfants peuvent s'ouvrir vers l'environnement, se déculpabiliser, prendre ou reprendre confiance en eux. Sans sécurité affective, ils ne peuvent s'ajuster à l'environnement, réguler leurs émotions et affects, construire ou reconstruire leurs comportements sociaux et systèmes relationnels, et mobiliser leurs ressources cognitives. Ce qui se traduit par des comportements autocentrés, évitements, fuites, bouffées d'hyperactivité, pleurs sans raison apparente, enchaînements d'agressions-destructions et/ou comportements étranges. Ces conduites sont particulièrement marquées et fréquentes au cours de la première heure de la matinée scolaire. L'insécurité affective apparaît surtout en relation avec le vécu dans le milieu familial, que l'enfant soit directement impliqué (maltraitance, attachement « insecure »…), ou u'il soit immergé dans »des bains anxiogènes» induits par les souffrances parentales (maladie, chômage, conditions de travail, mal-être persistant, conflits entre la mère et le père...).
Il faut donc que les parents puissent être également sécurisés, rassurés et déculpabilisés lorsqu'ils confient leur enfant à une structure d'éducation, en particulier l'école.
L'aménagement de «lieux intermédiaires» entre l'amont (le milieu familial, l'environnement urbain) et l'aval (les lieux pédagogiques), permet aux différents enfants, notamment à leur arrivée à l'école, de s'apaiser et de dépasser leurs peurs et inquiétudes, leur anxiété ou angoisse. Il est aussi conçu pour que, au début de chaque matinée scolaire et avant le premier temps pédagogique, chacun puisse avoir le temps de s'activer cérébralement et corporellement, de développer une vigilance et une attention suffisantes pour être réceptif et disponible, et mobiliser ses capacités de traitement de l'information. C'est en même temps des relations apaisées qui peuvent s'installer entre les différents « acteurs » de l'école (enfants-élèves, enseignants, éducateurs, parents).

B. Les lieux de construction des compétences et savoirs
Après un temps de vie personnalisé (ou temps-sujet) dans des lieux intermédiaires, les enfants élèves peuvent «libérer» plus complètement leurs compétences et en acquérir de nouvelles, en tout cas dans le cadre de stratégies qui lient la relation, le temps et l'espace. En effet, dans une organisation temporelle et spatiale qui alterne les temps d'apprentissage scolaire, les temps de découverte et (l'expression « plurielle » dans des lieux diversifiés et les temps de détente, les enfants-élèves se montrent sans limite, quelles que soient leurs limites apparentes ou supposées.
Ceux qui sont dits en échec scolaire surprennent par leurs capacités d'adaptation et de création. les possibilités qui leur sont offertes de vivre des interactions sociales avec différents partenaires, leur permettent de rendre lisibles des capacités de communication insoupçonnées, surtout s'ils ont une étiquette d'enfants autocentrés, craintifs, évitants, hyperactifs, étranges, agresseurs ou destructeurs.
L'aménagement pluriel des espaces donne aux enseignants la possibilité de combiner «les temps ordinaires de classe» dont la finalité est la transmission du savoir et des connaissances, les temps d'acquisition et de consolidation de processus cognitifs autres que ceux des apprentissages scolaires, et les temps personnels ;
Un tel aménagement permet aux parents et familles d'apporter leurs compétences et contributions à l'ensemble des enfants-élèves et au fonctionnement de l'école, sans interférer avec la pédagogie des professeurs. En outre, des lieux de concertation, médiation, projet, création ... donnent à l'école un cadre de liberté pour des relations plus ouvertes et confiantes;
Enfin, les interventions extérieures sont facilitées par l'aménagement de lieux où les compétences et pratiques peuvent être optimisées, qu'il s'agisse de psychomotriciens, rééducateurs, professeurs de sport, psychologues, peintres, musiciens, informaticiens, artisans... (pour des informations sur des réalisations concrètes, voir Montagner, 1996, 1998, 2002).
En conclusion, les structures d'éducation et d'enseignement, et aussi les structures de soins et de loisirs pour enfants, pré-adolescents et adolescents ne peuvent être simplement conçues et réalisées à partir des seules finalités institutionnelles, et des objectifs qui en découlent, ni à partir des seuls intérêts dominants, ni dans l'enfermement d'un à priori idéologique. Elles ne peuvent davantage être enfermées dans une organisation du temps et une architecture ignorantes des réalités qui organisent le développement et les conduites des enfants-élèves. Elles doivent être aussi des lieux dont les bains de relations et les espaces-temps permettent à tous de libérer toute la gamme de leurs compétences, et de les rendre fonctionnelles dans des situations et contextes variés, tout en acquérant de nouvelles compétences.
C'est alors que les enfants, pré-adolescents et adolescents peuvent réguler leurs émotions et affects, organiser leurs conduites sociales et processus de socialisation, apprendre les mécanismes qui fondent les acquisitions et apprentissages.
Les discours sur «l'échec scolaire» et «la violence à l'école» (et ailleurs) ne peuvent avoir de sens que s'ils sont conceptualisés à partir de cette «évidence» nourrie par la recherche fondamentale, les observations cliniques et les innovations pédagogiques, dès lors qu'on place l'enfant-élève au coeur de l'innovation.
Pour prolonger la réflexion :
Une expertise collective de l’INSERM d’avril 2001 « Rythmes de l'enfant ; de l'horloge biologique aux rythmes scolaires » dont un résumé est accessible en ligne.
Le rapport de l’Inspection générale de l’Education nationale de mai 2002 sur «L'organisation du temps scolaire dans le premier degré : les effets de la semaine de quatre jours».

Eduquer ensemble - Le Conseil Scientifique de la FCPE

17/10/2008

A vos agendas !

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
pour les adhérents et sympathisants
de la FCPE de Yerres
(maternelle, primaire, collège, lycée…)

Mardi 21 octobre 2008
à partir de 19h
à l’orangerie de la Grange au bois
repas autour d’un buffet
merci d’apporter
tarte salée, sucrée, fruits, boisson…
(vaisselle fournie)



Ordre du jour

19h-20h
Présentation et organisation de la FCPE
du comité de liaison et des conseils locaux.


20h-21h
Accueil des nouveaux venus
Discussion libre autour du buffet


21h-22h
Désignation des représentants FCPE
au comité de liaison
au CCVS
à la commission des menus…

Organisation de la Foire aux livres
(week-end du 22-23 novembre)

Projets et champs d’action 2008-2009
Sujets Divers

23/09/2008

Elections des parents d'élèves

Les élections auront lieu les 17 et 18 octobre.

N'hésitez pas à vous présenter sur une liste FCPE, et, surtout, votez, sur place ou par correspondance.

+ d'infos

28/01/2008

La FCPE, première fédération de parents d’élèves

La FCPE est la première fédération de parents d’élèves dans le premier degré (20,07% des suffrages) et le second degré (53,96% des suffrages). La FCPE a rassemblé près d’1 800 000 suffrages, ce qui lui donne une légitimité de représentation incontestable. Ces résultats correspondent aux élections des représentants de parents d’élèves qui se sont tenues les 12 et 13 octobre 2007. Ils ont été communiqués par le ministère à la veille des vacances de Noël.

La FCPE réitère sa demande auprès du ministre de l’Education nationale d’organiser une véritable campagne d’information nationale dans les médias sur les élections de parents d’élèves qui, seule, permettrait d’endiguer la baisse continue du taux de participation des parents aux élections (- 0,89% dans le premier degré et - 0,73% dans le second degré).


Cette campagne permettrait de rappeler le rôle des fédérations de parents d’élèves, l’utilité des élections et le vote des deux parents.


La FCPE demande au ministère que soient également rappelés les textes réglementaires aux directeurs et chefs d’établissement afin que les irrégularités et les dysfonctionnements dans l’organisation des élections cessent : commissions électorales non réunies, matériel électoral non envoyé aux deux parents à leur domicile, intrusion des directeurs d’école ou chef d’établissement dans la rédaction des professions de foi …


La FCPE exige la mise en place de commissions départementales de collecte des résultats des élections. Elles devront se réunir au plus tard une semaine après la date des élections afin de communiquer les résultats définitifs dans un délai respectueux de la démocratie et des parents.


Le ministère doit faire preuve d’une véritable volonté politique pour permettre une plus grande implication des parents dans l’élection de leurs représentants.

19/10/2007

Elections des parents d'élèves

Voici les résultats pour les écoles de la ville où une liste FCPE était présente. En regard les résultats de la PEEP.


FCPE

PEEP

Collège Budé

4

3

Elémentaire Grands Godeaux

6

3

Maternelle Brossolette

4

2

Maternelle Grande Prairie

1

1

Maternelle Grands Godeaux

4


Maternelle La Garenne

2

2

Maternelle Mare Armée

3


Primaire Brossolette

5

5

Primaire Victor Hugo

9

2

St Exupéry -Beauregard

10

9


26/09/2007

Elections - Ecole primaire Pierre Brossolette

Le samedi 13 Octobre 2007 de 8h30 à 12h30

Cette élection a une importance dans la vie scolaire de vos enfants. Le conseil d’école permet aux délégués des parents de donner leur avis sur tout ce qui concerne la vie des enfants dans l’école.

Les élus FCPE de Brossolette sont intervenus l’an passé notamment sur :

  • L’utilisation des fonds de la Coopérative (participation réduite des parents aux sorties, spectacles…)
  • L’élargissement de la gratuité des bus pour les sorties sur l’ensemble de la communauté d’agglomération
  • La vigilance sur le remplacement du personnel municipal
  • Le suivi du projet de réhabilitation de l’école (2008)

La FCPE de Yerres a obtenu la création d’un tarif journalier pour l’étude.

Cette année la FCPE :

Proposera une répartition plus juste des fonds de la coopérative entre les classes

Interviendra si besoin pour la création d’une étude supplémentaire et l’attribution du poste à une personne compétente

Fera tout son possible pour que les classes patrimoine prévues en remplacement des classes de découvertes des CM2 puissent se réaliser dans les meilleurs conditions, et reste attachée à l’organisation de classes de découverte l’an prochain.

La FCPE de Yerres organise chaque année la Bourse aux livres et aux CD dont l’intégralité des bénéfices est reversée aux écoles.

Muriel Bonnin, Cécile Ceccantini, Nathalie Seguin, Nathalie Assouli, Clarisse Reiser, Paula Mazaud, Peggy Szawski, ,Valérie Arson, Sylvie Haumonté, Monique Lamy, Florence Normnd, Ewa Pituch-Brunet, Anne Charpy


Elections - Ecole maternelle Pierre Brossolette

Le samedi 13 Octobre 2007 de 8h30 à 12h30

Cette élection a une importance dans la vie scolaire de vos enfants. Le conseil d’école permet aux délégués des parents de donner leur avis sur tout ce qui concerne la vie des enfants dans l’école.

Les élus FCPE de Brossolette sont intervenus l’an passé notamment sur :

  • L’utilisation des fonds de la Coopérative (participation réduite des parents aux sorties, spectacles…)
  • L’élargissement de la gratuité des bus pour les sorties sur l’ensemble de la communauté d’agglomération
  • La vigilance sur le remplacement du personnel municipal
  • Le suivi des travaux demandés (sanitaires, chauffage…)
  • L’organisation d’une réunion de rentrée avec l’équipe du centre de loisirs.

Cette année la fermeture d’une classe a été évitée de justesse, et nous interviendrons si besoin à la prochaine rentrée.

Nous veillerons également au remplacement du personnel municipal partant à la retraite.

La FCPE de Yerres organise chaque année la Bourse aux livres et aux CD dont l’intégralité des bénéfices est reversée aux écoles.

21/09/2007

Base élèves : attention

Conseils pratiques aux parents

note d'information FCPE mai 2007

L’Education nationale envisage de généraliser, à la rentrée 2007, le logiciel « base élèves du premier degré », un logiciel d'aide à la gestion des élèves, au suivi des parcours scolaires et au pilotage académique et national.
Cette base a reçu l’aval de la CNIL et il en existe un équivalent dans le second degré.

Ce logiciel permet au directeur d’école, au moment de l’inscription de l’élève, de saisir un certain nombre de renseignements concernant l’enfant et sa famille.
Outre les éléments d’état civil déjà consignés dans le document papier jusqu’à présent utilisé, comme la nationalité, sont demandés la date d’entrée en France de la famille et si celle-ci souhaite un enseignement de langue et culture d’origine (ELCO).

En cours d’année, le directeur fait également figurer sur la fiche de l’élève des précisions sur lesquelles les parents n’ont pas prise : suivi de l’élève par le RASED, par un psychologue scolaire, décompte des absences...

Qui peut avoir accès à ces données « confidentielles »: la mairie ? L’Inspection académique ? Le Rectorat ? Le ministère de l’Education nationale ? Le ministère de l’Intérieur ?

Quelles assurances avons-nous que ces éléments recueillis en vue de la gestion administrative des élèves ne seront pas utilisés à d’autres fins ?

Comment ces données informatiques qui transitent par Internet sont-elles sécurisées ?

Ce sont les questions que la FCPE a posées par courrier au ministère de l’Education nationale. La réponse du ministère de l’Education nationale se voulait rassurante. Nous ne pouvons que prendre acte des garanties qui nous sont apportées par l’Institution.

Le ministère nous a notamment assurés que les données concernant la nationalité ne sont pas accessibles aux maires et, plus globalement, que les données nominatives ne seront accessibles qu’aux acteurs locaux sous l’autorité de l’IA-DSDEN. Ainsi, le maire n’accède qu’à sa commune, la directrice à son école, l’IA à son département et le recteur à son académie.

Néanmoins, nous ne sommes pas totalement convaincus, particulièrement en ce qui concerne les risques de piratage informatique des renseignements fournis et de contrôle social des familles par les maires, ceci dans un contexte national sécuritaire et oppressant.

L’Ecole doit rester un lieu de neutralité et de protection des plus démunis, afin de ne pas entraîner une suspicion des familles envers le système éducatif.

La FCPE engage les parents d’élèves à se montrer extrêmement prudents lors de l’inscription de leur enfant et à ne remplir que les lignes obligatoires de la fiche. En revanche, nous ne pouvons nous risquer à appeler les parents à ne pas remplir ce document car, dans ce cas, l’inscription de leur enfant ne serait pas prise en compte.


Conseils pratiques

Fiche mairie :

Sur les documents émanant du ministère, la nationalité ne figure pas parmi les renseignements demandés par la mairie pour l’inscription sur la liste scolaire. Cette information ne peut donc pas être réclamée aux parents. Si elle faisait néanmoins partie des questions posées, les familles n’ont pas à y répondre.

Fiche école :
Côté parents :
Seuls certains champs de la fiche de renseignements sont obligatoires. La validation de l’inscription de l’enfant n’est possible que s’ils sont remplis.
Mais les parents ne sont pas toujours informés de ce qui est obligatoire ou non.
Nous devons, dès à présent, inviter les parents à ne pas renseigner les champs facultatifs suivants :
  • « année de l’arrivée en France »
  • « souhaite un enseignement de langue et culture d’origine»,
En revanche, le champ « nationalité » est obligatoire pour permettre la validation de l’inscription.
Par ailleurs, nous allons demander au ministère de l’Education nationale que les renseignements non obligatoires soient supprimés du document.
Le ministère nous a donné l’assurance que les données relatives aux besoins particuliers (intervention du RASED, absentéisme) qui sont, au cours de l’année scolaire, renseignées par le directeur d’école, devront être effacées dès qu’elles ne seront plus pertinentes et de façon systématique en fin d’année scolaire pour celles concernant les absences.

Conseils locaux :

Cependant, certaines familles concernées, notamment celles qui sont en situation de fragilité, n’oseront probablement pas vérifier que les données concernant leur enfant sont bien effacées.
C’est pourquoi nous demandons aux conseils locaux de les aider dans cette démarche.
Nous vous invitons dès à présent à rencontrer les directeurs d’écoles, afin de préciser avec eux certains éléments de notre position
  • Ne pas exiger des parents le renseignement des éléments facultatifs cités ci dessus.
  • Ne pas renseigner les éléments suivants : suivi de l’élève par le RASED, par un psychologue scolaire, décompte des absences...
  • Lors du dernier conseil d’école, les élus FCPE devront s’assurer que l’effacement des données est effectivement réalisé pour tous les enfants, dans le cas où ces lignes auraient été renseignées pendant l’année scolaire
Tout le dossier: ici

12/09/2007

Ecole Pierre Brossolette

réunion de rentrée

vendredi 14 septembre à 20h30
self de l’école primaire

Pourquoi venir à une réunion FCPE ?

  • pour être mieux informés de ce qui se passe dans l’école et mieux connaître le système éducatif
  • pour être mieux organisés et mieux entendus
  • afin d’avoir des moyens efficaces pour agir au sein de l’école
  • pour mutualiser les expériences, les idées, les pratiques
  • et être intégrés dans des lieux d’échanges et de convivialité.

    La FCPE agit pour faire reconnaître la place des parents dans l'écolenous sommes là pour :
    informer, conseiller, soutenir les parents, les aider à faire respecter leurs droits tout en leur rappelant leurs devoirs

    les représentants élus des parents siègent au conseil d’école (le conseil d’école donne son avis et présente toute suggestion sur le fonctionnement de l’école et sur toutes les questions intéressant la vie de l’école et de la communauté scolaire. Il donne son accord sur l’organisation d’activités complémentaires et statue sur le projet d‘école.

    Muriel BONNIN

11/09/2007

Ecoles Tournelles, Victor Hugo, Grande-Prairie

Si vous considérez que la vie scolaire de votre enfant vous concerne directement, si vous souhaitez être informés, nous vous invitons à venir nous rencontrer pour une

Réunion d’information des parents

Vendredi 21 septembre 2007 à 20h30

Ecole élémentaire Victor Hugo


07/09/2007

Les Elections Scolaires 2007-2008

Les élections des représentants des parents d'élèves au conseil d'école et au conseil d'administration des établissements du second degré ont lieu en 2007 le vendredi 12 ou le samedi 13 octobre. La date du scrutin est choisie, entre ces deux jours, par la commission électorale dans le premier degré et par le chef d'établissement dans le second degré.
Le vote par correspondance est possible, jusqu'au jour du scrutin.
Les élections scolaires ont lieu en début de chaque année pour élire les parents qui siègeront au conseil d’école et au conseil d’administration.
Chaque parent est électeur et éligible sous réserve de ne pas s'être vu retirer l'autorité parentale. Il ne dispose que d'une voix quel que soit le nombre de ses enfants inscrits dans la même école

Pour télécharger le dossier c'est ici !

06/09/2007

Les parents au collège Guillaume Budé

NOS PRIORITÉS :

  • Promouvoir un service public d’éducation de qualité, laïc et gratuit , garantissant à tous les élèves le meilleur développement de leurs compétences sociales et scolaires, en intégrant les notions de respect et de solidarité.
  • Nous sommes vigilants quant aux conditions d’accueil et d’encadrement des élèves.
  • Dans la perspective des travaux de réaménagement du CEC, nous avons rencontré M Durovray afin de lui faire part de nos préoccupations concernant un accès sécurisé au collège pendant et à l’issue des travaux.
  • Nous restons également attentifs aux dysfonctionnements générés par l’indisponibilité du gymnase et avons participé à plusieurs réunions au cours desquelles nous avons rappelé notre attachement aux maintien dans de bonnes conditions des activités de l’association sportive et plus généralement des activités sportives au collège.
  • Nous veillons au maintien du poste des personnels de santé et social et avons adressé au sujet du remplacement de l'assistante sociale ,un courrier au rectorat et à l’inspection académique.
  • Concernant l’apprentissage des langues étrangères et plus particulièrement de la disparition progressive de l’enseignement de l’allemand :
  • En collaboration avec le comité de jumelage Mendig/Yerres, nous avons mené durant une partie de l’année un travail important d’information aux parents sur les écoles élémentaires, afin de les alerter sur les conséquences du choix de la 1ère langue .
  • A cet effet, nous avons organisé une 1ère réunion à l’intention de tous les parents, afin de faire un « état des lieux », puis contacté tous les directeurs et directrices, afin d’organiser une réunion par école. Le but était de donner à tous la même information afin de faire un choix éclairé.

Nous sommes PRÉSENTS et ACTIFS :

au sein des Conseils de classe :

  • Nous prenons en compte les remarques que vous, parents, avez formulées dans les questionnaires de préparation que nous vous transmettons .Nous vous adressons ensuite un compte-rendu du déroulement du conseil
  • Cette année, nous sommes intervenus auprès de l’administration du collège, afin de faire modifier des horaires de conseil ne nous permettant pas d’y assister
  • Nous avons été à vos côtés pour vous assister dans vos démarches faisant suite aux décisions d’orientation
  • Si nécessaire, nous rencontrons le professeur principal afin d’échanger sur un problème ponctuel concernant la vie de la classe.
  • Nous pouvons également être médiateur pour désamorcer une situation de conflit.

au sein des différentes Commissions :

  • Commission Vie scolaire et Conseil de Discipline, instances qui sont réunies chaque fois que l’on doit statuer, pour un élève, sur un problème de vie scolaire.
  • Commission des Menus, où nous relayons les questionnements des familles concernant la restauration scolaire
  • Comité d’éducation à la Santé et à la Citoyenneté, dispositif privilégié définissant et mettant en oeuvre l’éducation préventive en matière de conduites à risque, dépendances et violence et ayant pour ambition de rendre l’élève responsable et autonome ; il est amené à repérer les signes de mal-être des élèves, renforcer les liens avec les familles, et travailler en partenariat avec l’environnement de l’établissement.

au Conseil d’Administration et à la Commission Permanente

  • Le budget et la dotation horaire globale y sont présentés. Nous avons protesté contre le peu de moyens alloués au collège, qui n’en permet qu’un fonctionnement « à minima » ( par exemple, nous avons été contraints de « choisir » le niveau pour le maintien de la classe de remotivation : nous ne pouvions garder ce dispositif sur la 4e et la 3e !). Nous avons ainsi collaboré à la rédaction d’une motion commune aux membres du CA.
  • Les voyages et sorties scolaires y sont votés :nous restons attentifs à leurs conditions d’organisation et plus particulièrement au coût supporté par les familles.


A la rentrée :

Nous organiserons une réunion d’information, à laquelle participe habituellement le principal du collège. Nous vous en communiquerons la date dans les documents de rentrée remis aux élèves .

Catherine DUTZER, Joëlle DENISE

23/08/2007

1967-2007 : la FCPE 91 fête ses 40 ans








Programme :

9h30 Accueil des personnalités
9h45 Discours d’accueil du député-maire de Palaiseau
10h30 Présentation débat sur le thème :

« Une école pour la réussite de tous les enfants ».

13 h Repas
14 h30 Ateliers :

      • Sectorisation
      • Orientation, échec et soutien scolaire
      • Être parent militant FCPE
      • Handicap et intégration

16 h30 Pause café
17h Restitution des ateliers

18h Gâteau des 40 ans avec Faride Hamana, Président de
la FCPE.


Salle Guy Vinet - Place Salvador Allende 91120 Palaiseau